vendredi 17 juin 2022

 

vendredi 17 juin 2022

HORREUR Vax Covid. Photos de caillots sanguins de ceux qui sont « morts subitement » – structures cristallines, nanofils, particules crayeuses et structures fibreuses

EXCLUSIFAujourd'hui, nous publions une série de photos de microscopie de laboratoire de caillots bizarres qui sont maintenant régulièrement trouvés chez des adultes qui sont «morts subitement», généralement quelques mois après les vaccinations contre le covid.
Ces caillots sont souvent appelés « caillots sanguins », mais ils ne ressemblent en rien aux caillots normaux, et ils sont bien plus que de simples cellules sanguines. 
Contrairement aux caillots normaux qui sont gélatineux ou presque gélatineux, ces soi-disant « caillots » contiennent des éléments structurels extrêmement gros, complexes et 
répétitifs (tous illustrés ci-dessous) qui sont clairement construits dans le sang des victimes décédées de ces caillots.

Tous ces caillots ont été extraits de patients quelques heures après leur mort. Ceux-ci ne sont pas le résultat d'une stase sanguine post-mortem. Ce sont des structures trouvées dans les vaisseaux sanguins et les artères. Ce ne sont pas du sang coagulé.

Nous tenons à remercier publiquement le Dr Jane Ruby de nous avoir mis en contact avec l'embaumeur (Richard Hirschman) qui a fourni ces caillots (Chaîne Telegram T.ME/DRJANERUBY ) Sans la persévérance du Dr Ruby, vous ne verriez pas ce rapport. Le Dr Ruby est fréquemment présenté au Stew Peters Show ( StewPeters.TV ) et sera également mon invité vedette lundi sur l'émission Infowars.com.

Voici une fiole de ces caillots crus, lavés de sang et conservés, avant coloration :

Ces structures présentent les propriétés choquantes suivantes :

  • Elles sont dures, fibreuses et résilientes, présentant des propriétés matérielles similaires à celles de petits élastiques.
  • Elles se composent de nombreux petits brins fibreux.
  • Ces brins fibreux (voir la toute dernière série de photos ci-dessous) montrent des motifs répétés d'ingénierie semblable à des écailles, comme si le corps avait été programmé pour construire une autre forme de vie à l'intérieur des vaisseaux sanguins.
  • Il existe d'étranges structures de type cristallin trouvées dans ces caillots, présentant une transparence et une résistance aux techniques normales de coloration de Gram.
  • Ci-dessous, vous trouverez un exemple d'une structure qui semble ressembler à un bio-circuit de type silicium ou à une structure de type micropuceOn ne sait pas encore ce que c'est.
  • L'un des ensembles de photos ci-dessous révèle ce qui semble être un fil de bio-circuit qui montre clairement des motifs répétitifs et des structures d'interface à l'échelle nanométrique assemblées dans une géométrie spécifique dans un but inconnu.

Contexte des photos suivantes :

  • J'ai reçu ces échantillons de "caillots sanguins" d'un embaumeur réputé (Richard Hirschman) actif dans le domaine de l'embaumement et qui a confirmé qu'il ne s'agissait pas de vaisseaux sanguins ou d'autres tissus d'aucune sorte. Ce sont des structures qui ont été évacuées de l'intérieur des vaisseaux sanguins lors des procédures d'embaumement.
  • J'ai coloré ces échantillons en utilisant des techniques de coloration standard de Gram utilisées pour la microbiologie afin d'améliorer le contraste structurel lors de la microscopie. L'un des échantillons ci-dessous - l'échantillon le plus jaunâtre - n'était coloré qu'avec de l'iode, pas de taches violettes.
  • Les échantillons ont ensuite été lavés avec de l'alcool éthylique et préparés sur des lames en utilisant une préparation d'échantillon de tissu standard pour la microscopie.
  • Le grossissement du microscope varie de 20x à 1500x, selon la photo. Les grossissements sont indiqués avec chaque série de photos.
  • Je conserve ces échantillons et je peux reproduire ces photographies si nécessaire. Tout opérateur de microscopie de laboratoire compétent pourrait reproduire ces photos en utilisant les mêmes échantillons.
  • Mes descriptions présentées ci-dessous ne sont que mes propres observations et ne sont pas destinées à indiquer la certitude des substances identifiées. Par exemple, lorsque je parle de "biocircuits" ou de "nanofils", je ne peux pas confirmer qu'il s'agit de structures réellement conçues à des fins de biocircuits. Simplement, ils ressemblent à des structures qui semblent indiquer un tel objectif, mais des recherches supplémentaires seraient nécessaires pour confirmer ces observations.

Ensemble de photos de microscopie #1 : Étranges nanostructures semblables à des cristaux

Ce premier ensemble montre d'étranges structures cristallines qui résistent aux techniques de coloration et semblent montrer une sorte de structures cristallines claires à l'échelle nanométrique qui n'apparaîtraient normalement jamais dans le sang ou les caillots sanguins.

Tout ce que vous voyez sur ces photos fait partie d'un caillot de sang extrait d'un être humain décédé.

Les grossissements indiqués ici sont 20x, 50x, 200x et 500x :

Ensemble de photos de microscopie #2 : Structures, brins et particules

Ce deuxième ensemble montre des détails très rapprochés sur les brins, les structures et les particules trouvées dans ces caillots sanguins.

Les grossissements affichés sont 20x, 50x, 100x, 200x, 500x, 1000x : (les grossissements extrêmes entraînent une perte de profondeur de champ, c'est pourquoi les photos fortement agrandies semblent si floues dans certaines zones)

 

 

 

Ensemble de photos de microscopie #3 : Structures en forme de cristal

Des structures cristallines sont attachées à la structure en forme d'écorce du caillot sanguin. N'oubliez pas que ce caillot est coloré à l'aide d'une tache violette, ce qui explique sa couleur violet foncé.

Les grossissements sont 20x, 50x, 100x, 200x, 500x et 1000x :

Ensemble de photos de microscopie #4 : Le matériau fibreux n'est pas simplement des cellules sanguines congelées

L'échantillon suivant a été coloré avec de l'iode, puis lavé avec de l'alcool éthylique. Si vous ne saviez pas d'où cela venait, vous pourriez penser qu'il s'agissait d'un échantillon de boeuf séché ou d'une pépite de poulet. En réalité, tout cela est du tissu caillot qui a été trouvé à l'intérieur des vaisseaux sanguins ou des artères.

Comme vous pouvez le constater, il ne s'agit en aucun cas de caillots sanguins "normaux". Ceux-ci ont une structure et sont fibreux. Ils sont clairement construits par le corps, en utilisant des instructions de synthèse de protéines pour créer cette grande masse qui ressemble presque à du tissu musculaire. Pourtant, il se construit à l' intérieur des vaisseaux sanguins.

Les grossissements sont 20x, 50x, 100x et 200x :

Ensemble de photos de microscopie n° 5 : Structure de « puce » de type silicium

Cette série montre quelque chose qui ressemble à des structures de micropuces à base de silicium, bien que je ne puisse pas affirmer avec certitude qu'il s'agit d'un circuit de quelque nature que ce soit. Cela ressemble simplement à ce à quoi ressemblent les micro-circuits à des grossissements similaires.

Grossissements utilisés ici à 20x, 50x, 100x, 200x et 500x :

Ensemble de photos de microscopie n° 6 : Particules blanches ressemblant à de la craie

Un embaumeur m'a dit que le sang vidé du corps de ces personnes lors de l'embaumement semble souvent montrer des particules blanches "ressemblant à de la craie" qui sont visibles même à l'œil nu dans certains cas.

Mes photos de microscopie semblent avoir capturé certaines de ces particules blanches ressemblant à de la craie qui résistent aux taches et semblent être dispersées dans certaines régions de ces caillots.

Les grossissements utilisés ici sont 20x, 50x, 100x, 200x, 500x, 1000x et 1500x :

Ensemble de photos de microscopie n° 7 : Structures « nanofils » et échelles structurelles répétitives

Ce qui suit ici est un aperçu époustouflant de ce qui semble être, au premier abord, un fil à micro-échelle. En zoomant, nous voyons une série de structures répétitives le long du dessus qui semblent être des jonctions d'interface de fil à l'échelle nanométrique. L'ensemble du "fil" est constitué de segments répétitifs, et sa couche externe est recouverte de motifs répétitifs "en forme d'écailles" qui ressemblent en fait à la peau de reptile plus qu'à tout ce qui est humain.

Pour mémoire, nous ne savons pas quelles sont ces structures. Cependant, il est clair que cela n'appartient nulle part au système circulatoire.

Enfin, cette fibre n'est pas simplement un cheveu humain. Il est fermement attaché au caillot de sang et lorsque j'ai essayé de l'enlever, il ne se déchirait pas facilement. Ce n'est pas un problème de contamination, c'est une structure émanant du caillot lui-même. Tout ce que vous voyez ici est sorti des vaisseaux sanguins d'un être humain :

Les grossissements utilisés ici sont 20x, 50x, 100x, 200x, 200x, 500x, 500x, 500x, 1000x et 1500x :

Qu'est ce que tout ça?

Nous ne savons pas encore quelles sont toutes ces structures. Cependant, nous savons ce qu'ils ne sont pas : ce ne sont pas simplement des cellules sanguines coagulées. S'ils l'étaient, alors au grossissement de 1500x montré sur la dernière photo ci-dessus, nous pourrions voir des cellules sanguines individuelles. Ce ne sont pas des cellules sanguines, ce sont des structures protéiques .

Les structures protéiques circulant dans le sang comme celle-ci, s'accumulant avec le temps, sont clairement construites par les cellules du corps. Les ribosomes dans les cellules indiquent au corps quelles protéines construire. Ces ribosomes sont détournés par des injections de thérapie génique d'ARNm, qui écrasent de nouvelles instructions aux cellules, les obligeant à fabriquer autre chose qu'humain.

Je crois que les structures que vous voyez ci-dessus sont le résultat d'instructions de synthèse de protéines d'ARNm qui ont été injectées à des personnes sous le faux parapluie de "vaccins". J'accueille les commentaires d'autres experts qui peuvent avoir d'autres théories ou explications sur l'origine de cela.

Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer la fonction et la composition de ces structures, mais en raison de la censure extrême et de «l'autoritarisme scientifique» qui existe maintenant dans le monde, aucun laboratoire ou université n'osera examiner ces caillots et rapporter honnêtement les résultats. Cela risquerait de perdre tout le financement du NIH et les subventions fédérales, puisque les mêmes personnes qui conçoivent les vaccins et les armes biologiques contrôlent également la plupart des financements scientifiques en Amérique.

Ainsi, seuls des scientifiques, laboratoires et journalistes indépendants oseront dire la vérité sur ces caillots .

En conclusion, ce ne sont pas des caillots de "sang". Ce sont des structures dans le sang. Ce sont des « caillots structurels » ou des « caillots fibreux » qui sont extrêmement gros et qui se forment à l'intérieur du corps au fil du temps.

Ma grave préoccupation est que chaque personne à qui on a injecté des instructions d'ARNm peut construire ces structures fibreuses à l'intérieur de son corps à la minute même, et que ce n'est qu'une question de temps avant qu'elles ne bloquent les principales artères ou ne provoquent des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux ou d'autres maladies aiguës. causes du « syndrome de la mort subite de l'adulte » (SADS).

Je crois que ces structures peuvent très bien expliquer pourquoi tant d'adultes apparemment en bonne santé meurent soudainement.

Source

mardi 14 juin 2022

 https://naturalnews.com/2022-05-26-globalists-want-to-track-your-carbon-footprint.htmlà

Les mondialistes veulent suivre votre « empreinte carbone individuelle » pour un contrôle total sur vos déplacements, votre nourriture et votre consommation de biens.( Nouvelles naturelles ) Le Forum économique mondial (WEF) s'est réuni à Davos, en Suisse, pour discuter de l'avenir du contrôle de l'humanité. J. Michael Evans, président du groupe Alibaba, a parlé du développement d'un "outil de suivi de l'empreinte carbone individuelle".
"Nous développons grâce à la technologie une capacité pour les consommateurs à mesurer leur propre empreinte carbone", a déclaré Michael Evans d'Alibaba . "Qu'est-ce que cela signifie? C'est là où ils voyagent, comment ils voyagent, qu'est-ce qu'ils mangent, qu'est-ce qu'ils consomment sur la plateforme. Suivi individuel de l'empreinte carbone. Restez à l'écoute, nous ne l'avons pas encore opérationnel mais c'est quelque chose sur lequel nous travaillons », a-t-il ajouté.

UNE MÉGA-ENTREPRISE CHINOISE LANCERA UNE NOUVELLE TECHNOLOGIE DE SUIVI DE L'EMPREINTE CARBONE

Cette technologie de suivi de l'empreinte carbone (provenant de Chine) est conçue pour suivre et contrôler les déplacements et la consommation de nourriture, d'énergie et d'autres biens de chaque personne. Pour atteindre ces objectifs de surveillance et de contrôle, l'élite mondiale devrait soit utiliser une technologie de surveillance injectable ou implantable, soit réinitialiser l'économie mondiale avec une monnaie numérique capable de suivre et de restreindre les achats et les capacités de voyage de chacun. Cette technologie de suivi pourrait être adaptée aux véhicules pour restreindre les déplacements d'une personne et interférer avec son autonomie et sa liberté. Les individus ont déjà été préparés à accepter cette technologie en raison de leur utilisation d'applications et d'appareils qui suivent et enregistrent chacun de leurs mouvements, achats et comportements.
Le groupe Alibaba est derrière la technologie. Cette méga-entreprise chinoise opère dans une culture qui ne respecte pas les droits de l'homme. L'entreprise a un grand effet de levier et serait en mesure de mettre en œuvre ces systèmes de suivi avec facilité. L'entreprise pourrait facilement convaincre les entreprises du monde entier d'appliquer la technologie du « suivi de l'empreinte carbone » et faire honte aux entreprises qui ne suivent pas comme étant des « négationnistes du changement climatique ».

LES TRACKERS D'EMPREINTE CARBONE VONT DE PAIR AVEC LES SCORES DE CRÉDIT SOCIAL ET LES PROGRAMMES DE CONTRÔLE DE LA POPULATION PLUS VASTES

Maintenant que les individus ont abandonné la souveraineté de leur corps aux mandats de masque et de vaccin, il ne serait pas si difficile de « mandater » ce type de technologie pour le « plus grand bien ». Beaucoup de gens accepteront facilement les mandats de carbone pour signaler la vertu qu'ils se sauvent les uns les autres et «sauvent la planète». Tout cela fait partie d'un programme plus vaste de mise en œuvre des scores de crédit social, qui ont également été introduits en Chine. Les gens seront poussés à abandonner lentement leur foi en Dieu et à faire confiance à un gouvernement mondial. Afin d'avoir un score de crédit social élevé et d'être acceptables dans la société, les individus seront amenés à se comporter et à croire comme leurs maîtres le souhaitent. Les plateformes de médias sociaux ont déjà été conçues pour inciter les gens à se conformer à ce système d'acceptation et de contrôle social.
Cette technologie ira facilement de pair avec les futures pandémies et les blocages liés au changement climatique. Le WEF a précédemment salué les confinements de 2020 et 2021 comme étant bénéfiques pour le climat. Dans les publications sur les réseaux sociaux, le WEF a annoncé que les verrouillages «amélioraient tranquillement les villes du monde entier». De nombreux membres du WEF ont soutenu la recherche des contacts pour détenir et enfermer illégalement des personnes chez elles  pendant deux semaines à la fois, (plusieurs fois) sous prétexte de se conformer à une «quarantaine» ordonnée par la santé publique. Ces mêmes panélistes du WEF enseignent à la population mondiale leur empreinte carbone, juste avant qu'ils ne décollent dans leurs jets privés, qui émettent plus d'émissions de carbone en un vol que la personne moyenne n'en utilise en un an.

Le WEF a approuvé les fermetures et l'étiquetage des petites entreprises comme "non essentielles". Ce sont ces actions totalitaires qui ont rapidement consolidé le contrôle des entreprises et du gouvernement sur la population , annulant les droits de propriété et laissant les individus et les entreprises dépendants de la prochaine relance gouvernementale. Comme l'a tristement dit le fondateur du WEF, Klaus Schwab, "À l'avenir, vous ne posséderez RIEN - et vous en serez heureux." Schwab et le reste de l'élite du WEF tirent leur plaisir de manipuler et de contrôler les gens et de nous traiter tous comme des points inutiles dans un monde infidèle et planifié de manière centralisée.

vendredi 3 juin 2022

 https://numidia-liberum.blogspot.com/2022/06/une-etude-revele-que-la-derniere.html#more

vendredi 3 juin 2022

Une étude révèle que la dernière épidémie de variole du singe est le résultat d’un virus manipulé

Cette étude scientifique récemment publiée a essentiellement mis au jour une masse de preuves indiquant que la dernière épidémie de variole du singe est le résultat d’un virus fortement manipulé qui a fui d’un laboratoire.

Si l’on ajoute à cela la simulation de la Conférence de Munich sur la sécurité, réalisée en mars 2021, qui s’est avérée tourner autour d’une épidémie de variole du singe débutant en mai 2022 à la suite d’une fuite d’un laboratoire bioterroriste, il n’est pas difficile de conclure que nous assistons soit à une véritable épidémie de variole du singe qui a été délibérément libérée d’un laboratoire, soit à une sacrée coïncidence. Et nous ne croyons pas à cette dernière hypothèse.

"Une épidémie de variole du singe qui a débuté le 15 mai 2022, entraînant 3,2 milliards de cas et 271 millions de décès au 1er décembre 2023."

Devons-nous vraiment croire que ce n’est qu’une coïncidence si nous assistons maintenant à une véritable épidémie de variole du singe, les premiers cas ayant été signalés à l’Organisation mondiale de la santé le 13 mai 2022 ?

L’exercice de la Conférence de Munich sur la sécurité a révélé que le virus modifié de la variole du singe a été développé de manière illicite dans le principal institut de virologie du pays fictif d’Anica par des scientifiques de laboratoire travaillant aux côtés d’un groupe terroriste arnica. Ce groupe terroriste a ensuite libéré l’agent pathogène “hautement contagieux et mortel” dans une gare bondée du pays fictif voisin, Brinia.

Aujourd’hui, une nouvelle étude scientifique publiée par l’Institut national de la santé (NIH) du Portugal suggère que l’épidémie de variole du singe dans le monde réel pourrait être le résultat d’un phénomène étrangement similaire.

L’étude a été publiée le 23 mai 2022 et peut être consultée dans son intégralité ici.

Les scientifiques des NIH ont recueilli des échantillons cliniques de 9 patients atteints de variole du singe entre le 15 et le 17 mai 2022 et les ont analysés.

Les scientifiques ont conclu que l’épidémie multi-pays de variole du singe à laquelle nous assistons maintenant est très probablement le résultat d’une seule origine parce que toutes les séquences de virus libérées jusqu’à présent se regroupent étroitement.

Figure 1 : Ébauche d’analyse phylogénétique des séquences virales de la variole du singe, mettant en évidence la diversité au sein de la grappe de l’éclosion.

Ils ont également conclu que le virus appartient au clade ouest-africain des virus de la variole du singe. Cependant, ils ont constaté qu’il est plus étroitement lié aux virus de la variole du singe qui ont été exportés du Nigeria vers plusieurs pays en 2018 et 2019, à savoir le Royaume-Uni, Israël et Singapour. C’est notre premier indice que cette dernière épidémie pourrait être le résultat d’un virus modifié qui s’échappe d’un laboratoire.

La preuve suivante que ce virus s’est échappé d’un laboratoire est la découverte que si le virus ressemble beaucoup à ceux exportés du Nigeria en 18/19, il reste différent avec plus de 50 polymorphismes nucléotidiques simples (SNP), qui sont des variations génétiques. Les scientifiques affirment que c’est beaucoup plus que ce à quoi on pourrait s’attendre. Cela indique clairement que quelqu’un, quelque part, a joué avec ce virus dans un laboratoire.

Les résultats finaux de l’étude sont écrits d’une manière difficile à comprendre, comme suit:

Mais heureusement, une personne qui a réussi à comprendre ce qui précède n’est autre que le Dr Robert Malone, et il a fourni une analyse facile à comprendre de ce que les scientifiques tentent de déclarer ci-dessus :

« Les auteurs spéculent que le schéma des mutations est cohérent avec les effets d’une protéine cellulaire naturelle portant le nom abrégé : APOBEC3 “.  Pour ceux qui veulent plonger dans la virologie moléculaire d’APOBEC3, voici une belle revue J Immunology 2015.

Pour ceux qui recherchent la version abrégée « Cliff Notes », voir WikipediaPour les obsessionnels ou les aficionados, notez qu’APOBEC3 est associé à un modèle spécifique de changements de base – (C→U). Sur la base de leur hypothèse concernant le rôle potentiel d’APOBEC3, j’en déduis que les auteurs doivent avoir détecté une fraction statistiquement significative des changements C→U dans les isolats actuels par rapport aux isolats de 2018-2019. #

C’est là que le bât blesse. Alors qu’APOBEC3 est associé à la résistance cellulaire (encore une autre forme d’« immunité innée ») au VIH (et probablement à d’autres rétrovirus), une recherche rapide dans PubMed révèle que les Poxvirus sont résistants aux effets mutationnels d’APOBEC3 !

Par exemple, voir cet article de 2006 publié dans « Virology »Franchement, que ce soit par manque de curiosité ou par peur des attaques des médias et des revues contrôlés par le gouvernement, le fait que les auteurs n’aient même pas mentionné cet article de Virologie est au mieux un oubli majeur.

Ma déduction et mon interprétation ?

Sur la base de ce rapport d’analyse de séquence de l’équipe de l’INSA cité ci-dessus, cela ressemble plus à une souche manipulée en laboratoire qu’à une souche naturellement évoluée. Mauvaise nouvelle.

De plus, ce virus à ADN double brin, dont les infections ont toujours été auto-limitantes, semble évoluer (au cours des derniers jours!) à une forme qui se transmet plus facilement d’homme à homme.

Mauvaise nouvelle...

Cette étude scientifique récemment publiée a essentiellement mis au jour une masse de preuves indiquant que la dernière épidémie de variole du singe est le résultat d’un virus fortement manipulé qui a fui d’un laboratoire.

Si l’on ajoute à cela la simulation de la Conférence de Munich sur la sécurité, réalisée en mars 2021, qui s’est avérée tourner autour d’une épidémie de variole du singe débutant en mai 2022 à la suite d’une fuite d’un laboratoire bioterroriste, il n’est pas difficile de conclure que nous assistons soit à une véritable épidémie de variole du singe qui a été délibérément libérée d’un laboratoire, soit à une sacrée coïncidence. Et nous ne croyons pas à cette dernière hypothèse.

Source

 https://numidia-liberum.blogspot.com/2022/06/les-programmes-militaires-secrets.html

vendredi 3 juin 2022

Les programmes militaires secrets ukrainiens

En 2016, les États-Unis se sont engagés à armer l’Ukraine pour qu’elle livre et gagne une guerre contre la Russie. Par la suite, le ministère de la Défense américain a organisé un programme de recherche biologique en Ukraine, puis d’énormes quantités de combustibles nucléaires ont été secrètement transférées dans le pays. Ces données modifient l’interprétation de cette guerre : elle n’a pas été voulue et préparée par Moscou, mais par Washington.

 

Tout au long de cette série d’articles, commencée un mois et demi avant la guerre en Ukraine, j’ai développé l’idée que les Straussiens, le petit groupe des adeptes de Leo Strauss au sein des administrations américaines, planifiait un affrontement contre la Russie et la Chine. Cependant, dans le dixième épisode de cette série, je relatais la manière dont le régiment Azov est devenu le pilier paramilitaire des bandéristes ukrainiens en faisant référence à la visite que lui rendit le sénateur John McCain, en 2016 [1]. Or celui-ci n’est pas un Straussien, mais a été conseillé par Robert Kagan lors de sa campagne électorale présidentielle de 2008, un penseur central parmi les Straussiens [2], même s’il a toujours prudemment nié son appartenance à cette secte.

La planification de la guerre contre la Russie

Une vidéo, filmée lors de la visite de John McCain en Ukraine en 2016, a refait surface. On y voit le sénateur accompagné par son collègue et ami, le sénateur Lindsey Graham, et par le président ukrainien Petro Poroshenko. Les deux États-uniens se déplacent en mission sénatoriale. Mais McCain est aussi le président de l’IRI (International Republican Institute), la branche républicaine de la NED (National Endowment for Democracy). On sait que l’IRI a animé une centaine de séminaires pour les responsables des partis politiques ukrainiens classés à droite, y compris pour les bandéristes. Les sénateurs s’adressent à des officiers du régiment Azov, la principale formation paramilitaire bandériste. Cela ne doit pas surprendre. John McCain a toujours soutenu que les États-Unis devaient s’appuyer sur les ennemis de leurs ennemis quels qu’ils soient. Ainsi, il a publiquement revendiqué ses contacts avec Daech contre la République arabe syrienne. [3]

Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Dans cette vidéo, les sénateurs Lindsey Graham et John McCain assurent que les États-Unis donneront toutes les armes nécessaires à leurs interlocuteurs pour qu’ils parviennent à vaincre la Russie.

Cette vidéo, je le répète, a été enregistrée six ans avant l’entrée de l’armée russe en Ukraine. Les deux sénateurs investissent leurs interlocuteurs d’une mission. Ils ne les considèrent pas comme des mercenaires que l’on paye, mais comme des proxys qui se battront pour le monde unipolaire jusqu’à la mort.

 

Peu après, le président Porochenko, qui avait assisté à cet entretien en tenue de combat, modifia l’écusson de ses services secrets, le SBU. Il s’agit désormais d’une chouette tenant un glaive dirigé contre la Russie avec la devise « Le sage régnera sur les étoiles ». Il est clair que l’appareil d’État ukrainien se préparait à la guerre contre la Russie pour le compte des États-Unis.

Trois ans plus tard, le 5 septembre 2019, la Rand Corporation organisait une réunion à la Chambre des représentants US pour leur expliquer son plan : affaiblir la Russie en l’obligeant à se déployer au Kazakhstan, puis en Ukraine et jusqu’en Transnistrie. [4]

J’ai longuement expliqué dans deux articles précédents [5] que les États-Unis et le Royaume-Uni ont récupéré à la fin de la Seconde Guerre mondiale de nombreux dirigeants nazis et les bandéristes ukrainiens pour les dresser contre l’URSS. Ils ont materné ces fanatiques dès la disparition de celle-ci pour les utiliser contre la Russie. Restait à explorer la manière dont ils les ont armés.

Le problème biologique militaire ukrainien

À partir de 2014, l’État ukrainien a débuté plusieurs programmes militaires secrets. Le premier et le plus connu est sa collaboration avec le Pentagone dans 30 laboratoires différents. Selon les États-Unis, ce programme visait à détruire les armes biologiques que l’Union soviétique avait fabriquées et entreposées en Ukraine. C’est évidemment peu probable car on ne voit pas, 31 ans après l’indépendance et 8 ans après le début de ce programme, pourquoi il en resterait encore. Au contraire, selon la Russie, le Pentagone faisait sous-traiter par l’Ukraine des recherches sur des armes interdites par la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1972. Sur la base de documents saisis lors de son opération spéciale, elle affirme notamment que des expériences ont été menées à leur insu sur des malades mentaux à l’hôpital psychiatrique n° 1 (Streletchyé, région de Kharkov) et qu’un agent tuberculeux a été manipulé pour infecter la population du district de Slavianoserbsk (République populaire de Lougansk). Ou encore que ces laboratoires menaient « des expériences extrêmement dangereuses visant à renforcer les propriétés pathogènes de la peste, de l’anthrax, de la tularémie, du choléra et d’autres maladies mortelles en recourant à la biologie de synthèse ». Un autre projet concerne les chauves-souris en tant que vecteurs de transmission d’agents de guerre biologiques potentiels, tels que la peste, la leptospirose, la brucellose, les filovirus ou les coronavirus.

Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Ces accusations gravissimes ne sont toujours pas clairement réfutées ou établies. La séance que la Russie avait convoquée à ce sujet au Conseil de sécurité des Nations unies, le 11 mars 2022, [6] n’a rien donné. Après avoir nié, la sous-secrétaire d’État, la Straussienne Victoria Nuland (et épouse de Robert Kagan), a déclaré lors d’une audition au Sénat américain, le 8 mars 2022 : « L’Ukraine a... des installations de recherche biologique. Nous craignons que les troupes russes ne tentent d’en prendre le contrôle. Nous essayons donc, avec les Ukrainiens, de nous assurer que ces matériaux de recherche ne tombent pas entre les mains des forces russes si elles se rapprochent ». Malgré ces incohérences, les Occidentaux ont fait bloc derrière Washington, accusant Moscou de mentir. À leurs yeux, il est tout à fait normal que des États disposent de collections de ces maladies afin de les étudier, leur présence ne doit pas être interprétée comme destinée à fabriquer des armes. Les laboratoires ukrainiens sont régulièrement surveillés par l’OSCE (organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe). [7] Il n’en reste pas moins que cette interprétation ne permet pas de comprendre les propos de Madame Nuland et ne rend pas compte de catastrophes comme, par exemple, l’épidémie de grippe porcine qui a tué 20 soldats ukrainiens en janvier 2016 et à contraint 200 autres à être hospitalisés

L’ambassadeur russe, Vassili Nebenzia, a notamment dénoncé des recherches sur la transmission de maladies dangereuses par des ectoparasites comme les poux et les puces. Il a rappelé que des expériences similaires avaient « été menées dans les années 40 par la tristement célèbre Unité 731 de l’armée japonaise, dont les membres se sont réfugiés aux États-Unis pour échapper à la justice ». L’unité 731, c’est l’équivalent japonais du service du Dr Josef Mengele à Auschwitz.

Comme si cela ne suffisait pas, Monsieur Nebenzia s’est interrogé sur le transfert de plusieurs milliers d’échantillons de sérum sanguin de patients d’origine slave, d’Ukraine à l’Institut de recherche Walter Reed de l’armée américaine. Des recherches, selon lui, visant sélectivement des groupes ethniques spécifiques comme celles que le Dr. Wouter Basson mena pour l’Afrique du Sud de l’apartheid et Israël durant sa période coloniale contre les Noirs et les Arabes (« Coast Project »).

L’administration de l’ONU a botté en touche, assurant tout ignorer de ce programme et renvoyant aux mesures de confiance prévues par le Traité. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir qu’elle avait eu connaissance de l’existence de ce programme, mais en ignorait les détails. Elle a confirmé par écrit à l’agence Reuters qu’elle avait « fortement recommandé au ministère ukrainien de la Santé et aux autres organismes responsables de détruire les agents pathogènes à haut risque afin de prévenir toute fuite potentielle ». [8] La presse chinoise, quant à elle, évoque des expériences visant à transformer des insectes en cyborgs afin de féconder ou de stériliser des cultures (Opération « Insects Allies »).

 

Ces expériences militaires, quelles qu’elles soient, ont été commandées indirectement par le Centre national de Renseignement médical (National Medical Intelligence Center) via l’Agence de la Défense pour la réduction des menaces (Defense Threat Reduction Agency — DTRA) et la société américaine Rosemont Seneca Technology Partners (RSTP). Cette dernière a été fondée par Hunter Biden et Christopher Heinz, respectivement fils du président Joe Biden et beau-fils de John Kerry. [9] Tous les résultats de ces recherches ont été envoyés au laboratoires biologiques militaires de Fort Detrick qui ont autrefois joué un rôle de premier plan dans le programme d’armes biologiques des États-Unis.

Comme l’a souligné le représentant chinois au Conseil de sécurité : « Toute information ou piste sur des activités biologiques militaires doit susciter une grande attention de la part de la communauté internationale (…) Les États-Unis disent qu’ils sont pour la transparence. S’ils estiment que ces informations sont fausses, ils n’ont qu’à fournir les données pertinentes et apporter des éclaircissements afin que la communauté internationale puisse se prononcer à ce sujet ».

Selon les Nations unies, si les États-Unis ont fourni régulièrement des rapports sur leurs activités biologiques dans le cadre de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques, l’Ukraine n’en a jamais déposé [10].

La Russie a pris plusieurs mesures. D’abord elle a détruit avec précaution les conteneurs de 26 de ces laboratoires ukrainiens (4 autres ont échappé à l’armée russe). Ensuite, elle a invité ses alliés de l’OTSC (Organisation du Traité de sécurité collective) à surveiller les accords qu’ils avaient pu passer avec les États-Unis. L’Arménie et le Kazakhstan ont mis fin à ces recherches. Enfin, les membres de l’OTSC ont interdit l’accès de tout personnel de Défense étranger dans leurs laboratoires.

 

Le programme nucléaire militaire ukrainien

Venons-en maintenant au plus problématique parce qu’il y a bien plus grave encore. Lors de son indépendance, la Biélorussie, le Kazakhstan et l’Ukraine ont hérité d’une bonne partie du système d’armes nucléaires soviétiques. Ces trois nouveaux États signèrent le Mémorandum de Budapest, en 1994, avec les États-Unis, la Russie et le Royaume-Uni. Les trois Grands s’engageaient à garantir leurs frontières tandis que les trois petits s’engageaient à transférer toutes leurs armes nucléaires à la Russie et à respecter le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.

Ce mémorandum est souvent évoqué par ceux qui veulent souligner la duplicité russe qui, après l’avoir signé, l’aurait violé. Ce n’est pas exact puisque le mémorandum prévoit que chacun des trois Grands sera relevé de sa promesse de non-intervention en cas de « légitime défense ou d’une autre manière conforme aux dispositions de la Charte des Nations Unies ». Or, la Russie a officiellement reconnu les républiques du Donbass après que l’État ukrainien a refusé d’honorer sa signature des Accords de Minsk et que son armée a bombardé le Donbass durant 8 ans.

Entre 2014 et 2022, l’Ukraine demanda quatre fois une renégociation du Mémorandum de Budapest. Finalement, le président Volodymyr Zelensky déclara lors de la réunion annuelle de la Conférence sur la Sécurité de Munich, le 19 février 2022 : « Moi, en tant que président, je le ferai pour la première fois. Mais l’Ukraine et moi-même le faisons pour la dernière fois. Je lance des consultations dans le cadre du Mémorandum de Budapest. Le ministre des Affaires étrangères a été chargé de les convoquer. Si elles ne se reproduisent pas ou si leurs résultats ne garantissent pas la sécurité de notre pays, l’Ukraine sera en droit de penser que le Mémorandum de Budapest ne fonctionne pas et que toutes les décisions globales de 1994 sont remises en question ». [11]

Remettre en question « toutes les décisions globales de 1994 », cela ne peut pas vouloir dire autre chose que reprendre des armes nucléaires. Par conséquent la position du président Zelensky peut être résumée comme suit : laissez-nous réprimer les séparatistes du Donbass ou nous rétablirons notre programme nucléaire militaire. Il est à noter que les principaux dirigeants de l’Alliance atlantique étaient présents ou représentés dans la salle. Pourtant aucun n’a protesté devant l’annonce d’une violation du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.

Commentant ce discours, le président russe, Vladimir Poutine a déclaré : « La seule chose qui manque [à l’Ukraine] c’est un système d’enrichissement d’uranium. Mais c’est une question technique, et pour l’Ukraine ce n’est pas un problème insoluble ».

Les services de renseignements russes étaient informés que l’Ukraine avait un programme militaire nucléaire. Nous ignorons ce qu’ils savaient précisément de ce programme.

L’Argentin Rafael Grossi, qui dirige l’Agence internationale de l’énergie atomique, a incidemment déclaré, le 25 mai au Forum de Davos, que l’Ukraine avait entreposé 30 tonnes de plutonium et 40 tonnes d’uranium enrichi dans sa centrale de Zaporijjia et que son agence se demandait ce qu’ils étaient devenus.

Or la centrale de Zaporijjia était un des objectifs de l’armée russe qui l’a investie le second jour de son opération spéciale, le 26 février. Un incendie a été déclenché dans un laboratoire adjacent lors d’un accrochage russo-ukrainien, le 4 mars. On avait alors dénoncé l’irresponsabilité de l’armée russe. À l’évidence, il s’agissait de tout autre chose ainsi que l’avait déclaré Moscou. La Russie avait commencé le transfert de ces combustibles et des forces spéciales ukrainiennes ont tenté de les en empêcher.

Le plutonium est vendu entre 5 000 et 11 000 $ le gramme. 30 tonnes achetées au prix coûtant, cela représente 150 milliards de dollars. Le prix de l’uranium dépend de son degré d’enrichissement. À moins de 5 %, il ne peut être utilisé qu’à usage civil et doit atteindre au moins 80 % pour un usage militaire. Ignorant son degré d’enrichissement, on ne peut évaluer son prix. La saisie par la Russie de ce stock non-déclaré rembourse probablement l’ensemble des sanctions prises contre elles.

L’information dont nous disposons soulève plusieurs questions : depuis quand l’Ukraine, qui avait cédé à la Russie tous ses stocks de l’époque soviétique, détient-elle ces matériaux ? D’où viennent-ils et qui les a payés ? Subsidiairement : quel est le taux d’enrichissement de l’uranium et qui l’a enrichi ?

À ces questions, la presse russe en ajoute une autre : quelle est la fiabilité de l’Agence internationale de l’énergie atomique qui a maintenu cette information secrète jusqu’à la semaine dernière ?

Au vu de ces éléments, il convient de réviser l’accusation commune selon laquelle la Russie serait responsable de cette guerre.

Thierry Meyssan