lundi 8 novembre 2021

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dimanche 7 novembre 2021

ÉCHEC PATENT. Le risque le plus élevé d'hospitalisation et de décès lié au Covid-19 se trouve dans les pays les plus vaccinés du monde selon les données officielles

Depuis le début de la crise sanitaire, les gouvernements du monde entier ont affirmé que le traitement précoce était inefficace. Ils ont imposé des restrictions importantes à nos libertés, notamment aux prescriptions des médecins.
Ils ont également promis que la vaccination permettrait d'obtenir une immunité collective, la fin de la crise et un retour à une vie normale.
Mais après 18 mois de cette soi-disant « stratégie sanitaire » basée sur de fausses simulations, d'innombrables mensonges, des promesses jamais tenues, ainsi que la campagne de propagande et de peur ont rendu la vie des gens insupportable, l'échec est patent et il est là.

En revanche, on a extorqué aux gens leur consentement à être vacciné, au moyen d’un chantage pur et simple, tout en limitant leurs libertés de mouvement et de socialisation, leur droit de travailler et de pratiquer des activités de loisirs.
Les vaccins actuels qu'ils continuent à nous imposer sont-ils efficaces ?
Peuvent-ils conduire à une immunité collective ou n'est-ce qu'un mythe ?
Pour répondre à cette question, il faut évaluer la situation du Covid-19 dans les pays les plus vaccinés selon les chiffres fournis par l'Organisation Mondiale de la Santé et les courbes de OurWorldinData. (Du début du vaccin en décembre 2020 au 15 septembre 2021)

Par le Dr Gérard Delépine (oncologue et statisticien)

Mortalité record à Gibraltar, championne des injections d'AstraZeneca

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l'agence sanitaire n'avait dénombré que 1040 cas confirmés et 5 décès attribués au covid19 dans ce pays. Après un blitz de vaccination très complet, atteignant une couverture de 115% (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols), le nombre de nouvelles infections a quintuplé (à 5314) et le nombre de décès a été multiplié par 19, atteignant 97, soit 2853 décès par million d'habitants, ce qui constitue l'un des records européens de mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien de causalité sans proposer aucune autre étiologie plausible. Et après quelques mois d'accalmie, l'épidémie a repris, confirmant que 115% de couverture vaccinale ne protège pas contre la maladie.

Malte : 84 % de couverture vaccinale, mais tout aussi inefficace

Malte fait partie des champions européens des pseudo-vaccins : sur cette île de 500.000 habitants, près de 800.000 doses ont été administrées, assurant une couverture vaccinale de près de 84 % avec un retard d'environ 6 mois.
Mais depuis début juillet 2021, l'épidémie a repris et les formes graves (mortelles) se multiplient, obligeant les autorités à reconnaître que la vaccination ne protège pas la population et à imposer des restrictions.

Là encore, la récurrence de l'épidémie en termes de cas et de mortalité prouve qu'un taux de vaccination élevé ne protège pas la population.

En Islande, les gens ne croient plus à l'immunité collective

Dans ce petit pays de 360.000 habitants, plus de 80 % sont primo-vaccinés et 75 % ont un cycle de vaccination complet. Mais à la mi-juillet 2021, les nouvelles infections quotidiennes étaient passées d'environ 10 à environ 120, avant de se stabiliser à un taux supérieur à celui de la période précédant la vaccination. Cette récurrence soudaine a convaincu l'épidémiologiste en chef de l'impossibilité d'obtenir une immunité collective par la vaccination. "C'est un mythe", a-t-il déclaré publiquement.

Belgique : récidive de la maladie malgré la vaccination Les vaccins contre le Covid-19 entraînent de nouvelles infections et mortalités : les preuves sont accablantes

En Belgique, près de 75 % de la population est primo-vaccinée. Et 65% de la population a un cycle de vaccination complet. Or, depuis fin juin 2021, le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes est passé de moins de 500 à près de 2000. Comme le reconnaît la RTBF, face au variant Delta, la vaccination actuelle est loin d'être suffisante pour protéger la population.

Singapour abandonne l'espoir du "Zéro Covid" par les vaccins

Ce petit pays est également fortement vacciné et près de 80 % de la population a reçu au moins une dose. Mais depuis le 20 août 2021, il doit faire face à une reprise exponentielle de l'épidémie avec une augmentation des cas d'une dizaine en juin à plus de 150 fin juillet et 1246 cas le 24 septembre.

Cette récurrence incontrôlée de la maladie malgré la vaccination a conduit à abandonner la stratégie d'éradication du virus en vaccinant pour un nouveau modèle de "vivre avec le virus" en essayant de traiter la maladie "comme la grippe".

Au Royaume-Uni : une hausse inquiétante des infections

Le Royaume-Uni est le champion européen de la vaccination par le vax Astra Zeneca, avec plus de 70 % de la population vaccinée pour la première fois, et 59 % avec un calendrier vaccinal complet. Ce taux de "vaccination" élevé n'a pas empêché une explosion des cas au début de l'été, avec jusqu'à 60.000 nouveaux cas par jour à la mi-juillet.
Face à cette reprise significative de l'épidémie malgré la vaccination, Andrew Pollard, représentant de l'Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le Parlement : "l'immunité collective par la vaccination est un mythe".

Cette reprise des infections s'est accompagnée d'une reprise des hospitalisations, des cas graves et des décès. Selon le bilan officiel d'août [2], les décès étaient plus fréquents chez les patients complètement vaccinés (679) que chez les patients non vaccinés (390), niant ainsi cruellement les espoirs d'un effet protecteur du vaccin sur la mortalité.
Après la levée des dernières restrictions sanitaires, l'épidémie est tombée à un niveau inférieur à 30000 cas par jour, alors qu'au début du mois de juillet, les simulations des spécialistes du covid prédisaient jusqu'à 100.000 nouveaux cas par jour si les mesures sanitaires étaient supprimées.

Israël : une catastrophe post-vaccination évidente démentie par les autorités

Israël, champion de l'injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d'efficacité, est désormais durement rappelé à la réalité et est désormais le modèle de l'échec vaccinal.
70 % de la population est primo-vaccinée et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle de vaccination complet. Mais l'épidémie a rebondi plus fort que jamais depuis fin juin, et plus de 11.000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de l'épidémie suite aux premières injections de Pfizer. .

Cette reprise de l'épidémie, malgré les injections de Pfizer, s'accompagne d'une augmentation des hospitalisations où les vaccinés représentent la majorité des personnes hospitalisées.

La vaccination ne protège pas contre les formes sévères de la maladie ni contre la mort.

Fin juillet : 71% des 118 Israéliens gravement malades (graves, critiques) avaient été complètement vaccinés !

Cette proportion de personnes gravement malades vaccinées est bien supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées : 61 %. Prétendre que le vaccin protège contre les formes graves de la maladie, comme l'a imprudemment déclaré le ministre israélien de la Santé, est une erreur (ou de la désinformation ?).

Afin de ne pas reconnaître ses erreurs, le gouvernement israélien reste dans le déni de cet échec flagrant et continue de ne proposer que la vaccination comme solution. Combien de morts faudra-t-il encore avant de suivre l'exemple de l'Inde ou du Japon et d'adopter enfin un traitement précoce ?

Conclusion

Les pseudo vaccins actuels ne sont pas assez efficaces. Ils n'empêchent ni la récidive de l'épidémie, ni les hospitalisations, ni les formes sévères, ni les décès. En Israël et en Grande-Bretagne, qui précisent le statut vaccinal des victimes, les vaccinés souffrent d'un risque de mortalité accru par rapport aux non vaccinés.

La poursuite d'une politique exclusivement vaccinale conduit à une impasse mortelle, alors que les pays qui conseillent officiellement un traitement précoce (Inde) ou autorisent leurs médecins à le prescrire (Japon, Corée) s'en tirent beaucoup mieux.

Qu'attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire aux fausses simulations menées par des épidémiologistes trop liés aux industriels du vaccin, pour regarder les faits avérés et interrompre leur campagne pro-vaccination trompeuse et délétère et préconiser un traitement précoce ?

Le maintien de l'interdiction du traitement précoce par les médecins traitants entraîne une perte de chances pour de nombreux patients et engage directement la responsabilité du gouvernement et notamment du ministre de la Santé.

Source : FAILURE – Highest risk of Covid-19 hospitalisation and death is in the most vaccinated nations worldwide according to official data

By The Exposé on 

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