S’il faut choisir entre une victoire ukrainienne et une guerre nucléaire mondiale, la guerre nucléaire est préférable.
Ceci est la traduction d’une lettre ouverte d’Egor Kholmogorov, un intellectuel journaliste influent de la droite conservatrice russe.
Auparavant, pendant la période de métissage indulgent, qui a coûté la vie à des milliers de militaires et de pacifiques, la motivation de la guerre était principalement positive : notre peuple, la réunification du peuple russe, le riche pays créé par nos mains, Vladimir Monomakh, la parole de Polku Igoreve et ainsi de suite. Même la suppression des Banderites était, en général, une motivation positive et ingragante : ils seraient jugés pour Odessa.
Dans un contexte où la « superpuissance Ukraine » parvient à attaquer dans trois directions à la fois et où nous avons une percée de Balakleya, puis la perte d’Izyum, puis une fuite de Volchansk, puis Kupiansk Schrodinger, et où notre principal espoir est le contre patriotique, nous devons recourir à la motivation négative.
Nous devrons vaincre et détruire l’Ukraine même dans le cas (improbable) où nous ne pourrions pas réunir une seule personne, même si nous devons démolir toutes les usines construites sur le continent et empoisonner toute la terre noire, même si nous devons saper le nerf de notre économie et perdre beaucoup de nos meilleurs jeunes hommes.
S’il faut choisir entre une victoire ukrainienne et une guerre nucléaire mondiale, la guerre nucléaire est préférable.
Si l’Ukraine gagne (tout résultat qui n’est pas une victoire sans ambiguïté pour la Russie sera considéré comme une victoire), il n’y aura pas de coexistence de voisinage avec la Russie. L’Ukraine fera exploser la Russie de l’intérieur.
Premièrement, la notion même d' »Ukraine » et d’ukrainité va s’étendre de plus en plus – de Voronezh à Kouban. L’Ukraine étant un produit de l’imagination, rien ni personne ne lui interdira de s’inventer des frontières toujours plus larges.
Deuxièmement, l’affaire va commencer à se reproduire. Chaque république nationale, chaque sous-ethnie et chaque identité régionale tentera de devenir l’Ukraine.
Troisièmement, l’Ukraine deviendra l’hégémon de l’espace politique intérieur russe : sur ordre du consul ukrainien, les dirigeants de l’opposition russe seront nommés et déplacés, qui cessera d’être l’opposition pour devenir le pouvoir ou la semi-puissance.
Quatrièmement, l’Ukraine deviendra un bélier armé du bloc russophobe limitrophique, qui viendra nous scalper cinq ans après le cessez-le-feu.
En d’autres termes, il n’y aura pas de vie paisible pour la Fédération de Russie en cas d' »armistice » mythique avec l’Ukraine, et encore moins de triomphe. Ce sera la fin de la Russie en tant qu’État, des Russes en tant que nation et même de la lâche élite éréfienne (sans la remplacer par une vraie).
La victoire de l’Ukraine ne restera pas la victoire de l’Ukraine. Ce sera le début de notre effondrement.
Quel est notre véritable objectif défensif ? En empêchant l’achèvement de l’ethnogenèse ukrainienne.
Certains pensent que cette ethnogenèse s’est produite il y a longtemps. Il y a ceux qui croient que cela s’est produit récemment. Tout cela n’a aucune importance. Il existe de nombreux cas dans l’histoire d’ethnogenèse violemment et opportunément interrompue. Le cas le plus flagrant est celui des Dixies du Sud américain. Gagner la guerre civile (qui a été menée par le Nord pendant les deux premières années sur le mode « nous ne l’avons pas encore commencée ») – et les Dixies sont devenus une ethnie et une nation complètement différentes de celles des Yankees. Ils avaient tout pour ça. Mais ils ont été supprimés – et bien que nostalgiques du passé et faisant même un peu de séparatisme, ils sont restés américains.
Notre conflit actuel avec l’Ukraine ressemble beaucoup à la guerre civile aux États-Unis. Et malgré toutes nos sympathies pour la Confédération, Lee et Jackson, objectivement nous sommes le Nord dans cette guerre. Et soit nous gagnerons et deviendrons une superpuissance, soit nous serons vaincus et perdrons à jamais notre place dans l’histoire.
Heureusement, l’Ukraine n’a pas de Jaxons ni de Stuarts, et Izyum n’est pas comparable à Fredericksburg. Mais nous avons beaucoup de McLellan et nous avons besoin de nos propres Lincoln, Grant et Sherman.
L’incapacité à mener une guerre avec un objectif décisif équivaut à une défaite. La défaite mettra fin non seulement au Big One, mais aussi à la Russie actuelle et à son avenir. Si nous ne commençons jamais, nous allons tout simplement nous épuiser.
NDLR —————– (ajout supplementaire)
Ceci est la traduction d’une lettre ouverte d’Egor Kholmogorov, un intellectuel journaliste influent de la droite conservatrice russe.
src: https://t.me/holmogortalks/24528
Il n’y a que deux possibilités:
1/ Soit vous êtes d’accord avec ce qu’il dit, ce qui peut, du point de vue russe parfaitement se comprendre, et on imagine alors jusqu’où ce conflit peut aller,
2/ Soit vous n’êtes pas d’accord, et alors je vous propose de (re)lire les différents chapitres de l’AMOUR de la GUERRE (sur ce blog) pour mieux saisir ce qu’amènerait en terme de chaos mondial une victoire de l’Empire (par un succès total des troupes ukrainiennes) sur la Russie.
Mieux vaut espérer que cela n’arrive JAMAIS !
Ce qu’il faut bien comprendre c’est que les citoyens (alertes) du monde surveillent particulièrement le « conflit en Ukraine » qui est en réalité un conflit des pays de l’OTAN en guerre contre la Russie, l’Ukraine étant juste le « no man’s Land » qui sert de terrain de bataille.
Cela est clairement démontré dans les chapitres de « l’amour de la guerre« , dans les différents « hors série » qui y sont associés et aussi, dans mes différentes publications sur VK ou FB afin de faire comprendre au plus grand nombre ce que la propagande de l’Empire tente laborieusement de vous cacher.
Il y a aussi la série « Facebook crache sur les 10 commandements » afin de mettre en lumière le sale boulot de désinformation que font les RS officiels mainstream à travers une PsyOp dès plus ignobles.
Les pays occidentaux orchestrés par le Deep State préparent depuis plusieurs années l’humanité à un nouvel ordre mondial (NOM ou New World Order) qui serait une mutation du capitalisme avec un système économique, sociale et spirituel à sens unique gouverné par un conglomérat de pays décideurs du sort de l’humanité et regroupés en une seule grande puissance.
Les leaders occidentaux y compris Joe Biden (et les marionnettes de l’Empire que sont les Macron, les BHL et consorts) l’ont répété à plusieurs reprises: ils iront jusqu’au bout vers ce changement et dans cette vision qui semble bienveillante mais qui est en réalité un système de contrôle plus aigu et approfondi des individus qui perdront petit à petit leur liberté de penser , de consommer et de croire. La coupe des « droits de l’homme » est pleine, il faudrait maintenant la boire et en la buvant la coupe se vide et en se vidant les citoyens du monde se lèveront pour réclamer des nouveaux droits et ainsi de suite….espérons le !
Dans cette course effrénée des pays occidentaux vers le nouvel ordre mondial, à l’opposé, on y retrouve la Russie, la Chine et l’Inde qui font comme un barrage préférant plutôt un monde multipolaire dans lequel chaque nation prendrait position avec sa culture et son identité dans la gouvernance mondiale.
Deux grands pôles se confrontent et parlent d’utiliser les armes nucléaires pour maintenir leurs idéologies, l’un avec une idéologie hégémonique et l’autre avec une idéologie conservatrice.
Serons nous UN dans UN monde unilatéral dans lequel les hommes seraient programmés comme des clones ou bien serons nous plusieurs avec nos identités et valeurs dans UN monde multilatéral ?
Le futur dépendra de celui qui gagnera le conflit en Ukraine qui petit à petit nous a emmené vers une troisième guerre mondiale (en regard du nombre de nation impliquées en regard des origines diverses et variées des mercenaires ukronazis neutralisés depuis Février 2022 par l’armée russe).
OBSERVONS BIEN CE QUI SE PASSE EN UKRAINE, L’AVENIR DU MONDE EN DÉPEND
Cette « 3eme guerre mondiale » n’est que la pointe du haut de l’iceberg …d’un rapport de force qui oppose 2 visions totalement opposées de l’avenir de l’humanité. Le « projet » de l’Empire (tel que décrit plus haut) ne date pas de 2022, ni même de 2014….c’est bcp plus ancien que ça !
A la rigueur pour ne pas effrayer les âmes sensibles, on pourrait remonter à la thèse du Pan Européanisme de Richard Coudenhove-Kalergi (1923).
Bref, 1923, n’étant que le début de l’idée d’une Europe avec ses peuples à fusionner dans un seul « sac » corvéables à merci, qui prendra effet après la 2eme GM grâce aux « nazis » qui ont crée l’EU (lire les autres articles à ce sujet sur ce blog).
C’est ce que certains nomment, depuis peu, « la thèse du grand remplacement » ou « Plan Kalergi« , que l’oligarchie a toujours essayé de vous faire passer pour délire « complotiste » ou « fantaisiste« …jusqu’à ce qu’enfin, l’intervention russe en Crimée, le Donbass, la débâcle des urko-atlan-nazis d’Azostal, les mensonges de Zelensky et de l’OTAN, finissent par, indirectement, montrer au monde entier, les misérables projets du « Nouvel Ordre Mondial » qui motivent le Deep State.
Mais, sachez que même si on ne se réfère qu’à 1923…Et bien, on est tjrs loin du compte.
<< Demain je pars en Russie ! >> dirait n’importe quelle personne qui a encore toute sa tête !
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